Hier, nous parlions des professionnels qui s’enorgueillissent d’avoir reçu l’agrément à titre personnel Google Analytics. Abordons aujourd’hui le cas de l’optimisation du taux de conversion, car, encore une fois, bien des fournisseurs en parlent… mais, patron de PME que vous êtes, sauf à ce que vous soyez un geek fini, une majorité des termes utilisés dans les pages qui présentent ce genre de services sont du chinois pour vous.
30 jours
Est-il obsédé par la « vraie » mesure de la performance?
Hier, nous mettions le doigt sur le fait qu’un bon spécialiste AdWords doit autant être créatif qu’obsédé par les données (et leur analyse). Aujourd’hui, nous nous attardons sur cette dernière facette, car trop nombreux sont les consultants qui s’enorgueillissent d’avoir reçu l’agrément à titre personnel Google Analytics… mais qui ne sont pas capables de comprendre les vraies affaires. En effet, sauf si vous ne vendez qu’en ligne, Google Analytics ne donnera jamais au gestionnaire AdWords toutes les données dont il a besoin pour bien optimiser vos campagnes.
Puis, même si vous ne vendez qu’en ligne, Google Analytics n’est pas le seul outil dont votre spécialiste AdWords a besoin.
Alors je pose la question suivante : Votre spécialiste AdWords est-il obsédé par la « vraie » mesure de la performance?
Plutôt cerveau droit ou cerveau gauche? Les deux!
Que vous considériez ou non que le caractère d’un individu dépend de la région du cerveau qu’il utilise le plus, je reviens sur l’article d’hier, car je ne veux pas laisser penser qu’un bon spécialiste AdWords ne doit pas avoir un esprit analytique. Au contraire!
Un bon spécialiste AdWords doit-il être un bon rédacteur?
Croyez-moi ou non, mais, en démarrant avant-hier cette série de 30 articles en 30 jours, je n’avais pas de calendrier de publication. Juste des idées pêle-mêle dans un document.
Hier, on parlait de la réalité de bien des annonceurs québécois qui annoncent en français et en anglais.
Aujourd’hui, on fait un pas en arrière.
Un bon spécialiste AdWords doit-il être un bon rédacteur?
Votre spécialiste gère-t-il vos campagnes dans les deux langues?
Aujourd’hui, on continue avec une réalité québécoise.
Nombreuses sont les PME québécoises qui font des affaires en français et en anglais, qu’elles vendent à l’extérieur du pays ou non.
Quand vos campagnes AdWords doivent vous permettre de rejoindre – et de « convertir » – des anglophones autant que des francophones, à qui confiez-vous la gestion de vos campagnes publicitaires? À une agence qui compte dans ses rangs un gestionnaire dont la langue maternelle est l’anglais et un spécialiste dont la langue maternelle est le français? À un indépendant – francophone – qui sous-traite la gestion de vos campagnes en anglais à un anglophone?
Est-ce un spécialiste agréé qui gérera votre compte?
Un an après mon dernier billet sur ce blogue, je lance une série de 30 billets. 30 billets en 30 jours.
30 billets pour choisir le bon spécialiste AdWords.
OUI, mon billet de 2009 sur le sujet est encore pertinent, mais – autant pour le plaisir de bloguer 30 fois en 30 jours que pour aborder les questions que mes clients (potentiels) se posent (ou devraient se poser) – je souhaite aider les patrons de PME qui en sont à chercher un bon spécialiste AdWords.
Et, pour rentrer dans le vif du sujet, je discuterai d’une première question.
Est-ce un spécialiste agréé qui gérera votre compte?